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LDLC pirate plusieurs magazines ! (suite)
En fait, bien qu'elle avait pris connaissance de notre alerte, la société LDLC avait préféré dans un premier temps laisser sur son site Web une contrefaçon de notre article paru dans Virus 25. Finalement, elle vient de le retirer, sans un mot d'explication. Son agence de presse - qui nous a contacté d'elle-même - nous informe qu'elle (l'agence) acquitte « chaque mois d'une redevance auprès du CFC (Centre Français d'Exploitation du Droit de Copie) ». Non seulement nous ne percevons rien de cette redevance, mais d'autre part cela n'autorise en rien son client à diffuser des articles de presse sur Internet sans demander l'accord des auteurs respectifs. D'autres articles, eux, sont toujours en ligne sur son site. LDLC refuse tout dialogue.
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