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Accusations de racisme au syndicat international des travailleurs du jeu vidéo
Nous apprenons de
Games Industry que Marijam Didžgalvyte n’est plus responsable de la communication de l’organisation syndicale internationale Game Workers Unite. Des membres de la branche de Seattle (États-Unis) se plaignaient d’elle pour des «
comportements d'exclusion et d'intimidation », des faits de «
harcèlements » (non détaillés dans le communiqué hébergé chez… Google !). Selon l’accusée, cela ferait suite à un différent entre elle et Sisi Jiang de la société de jeux vidéo Lionkiller : la seconde souhaitant une action internationale contre le suprémacisme blanc, la première au niveau local estimant que le problème aurait donné une connotation trop occidentale à l’organisation. Mais, de son côté, Sisi (qui a quitté le syndicat depuis) affirme que Marijam lui a «
déclaré qu’ils [au niveau international du syndicat]
ne voulaient pas aliéner les développeurs de jeux en condamnant le racisme. » Elle se plaint aussi du refus du compte Twitter principal de relayer une cagnotte de soutien aux manifestants contre le racisme au États-Unis suite à la mort de George Floyd. Marijam Didžgalvyte a plaidé le malentendu, en vain. La branche de Seattle exige désormais un comité pour enrayer le «
racisme latent présent dans toute l’organisation », une accusation relayée ou confirmée par d’autres branches locales de Game Workers Unite (Los Angeles, Detroit, Argentine).
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