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Contact & questions fréquentes


Bellaminette attachée à une boîte aux lettres

Depuis 1996, notre mission est de faire des magazines indépendants, sans publicité dans leurs pages ni subventions, afin de pouvoir vous informer de ce que les autres médias ne vous disent pas pour ne pas froisser leurs annonceurs ou leurs grands actionnaires. Nous avons lancé le premier numéro de notre premier magazine Le Virus Informatique (ou Virus Info) début 1997 chez les marchands de journaux, puis ouvert ce site Web dans la foulée. Si vous voulez nous contacter, nous vous invitons à vérifier d’abord que la réponse à votre question ne se trouve pas déjà ici (par manque de moyens, nous sommes une petite équipe et nous n’avons donc pas la possibilité de répondre à tous les courriers). N’hésitez pas à nous contacter dans tous les cas si vous voulez partager une information ou un avis sur l’une de nos thématiques !

(Dernière mise à jour : avril 2020)


Qui êtes-vous ?
Où trouver vos magazines ?
Comment s’abonner ?
Comment se procurer les anciens numéros ?
Pourquoi les magazines en téléchargement sont-ils parfois plus chers ?
Pourquoi ne faites-vous pas un site Web avec un accès payant aux articles ? Pourquoi ne proposez-vous pas des magazines à télécharger directement sur votre site Web ?
Pourquoi ne pas augmenter le prix ?
Pourquoi ne pas accepter les dons ?
Pourquoi ne lancez-vous pas un financement communautaire sur Kickstarter ou Ulule, par exemple ?
Pas de pub ? Et pourtant j’ai trouvé des pubs pleine page !
Toujours en retard pour les infos !
Pas assez souvent, pas assez de pages, pas assez de tout !
Les infos sont pompées sur le net !
Pourquoi êtes-vous basés en Estonie désormais ?
À quand le retour de Pirates Mag’, Les Puces Informatiques et Pocket Videogames/magazine ?

C’est parti !

Qui êtes-vous ?
Initialement, l’équipe était composée de journalistes spécialisés qui en ont eu ras-le-bol de la censure dont ils sont victimes tous les jours dans leurs propres magazines (il faut bien manger !). Sous couvert d’anonymat, ils peuvent enfin tout révéler dans nos pages. Progressivement, l’équipe s’est enrichie de lecteurs, amateurs, revendeurs, hackers, juristes, ingénieurs, enseignants, etc. Car tout le monde n’a pas le même point de vue qu’un journaliste et ne vit pas l’informatique de la même façon. Âges, sexes, nationalités et situations géographiques sont variées.
Plus fort : vous aussi pouvez participer ! Votre courrier nous est très utile : il peut nous arriver de passer à côté d’une information intéressante, signalez-la nous, si possible envoyez-nous le maximum de preuves et vos coordonnées pour que nous puissions vous joindre (votre anonymat sera néanmoins garanti si vous le souhaitez, en cas de problèmes, nous ne sommes pas obligés de révéler nos sources). Et pourquoi pas ne pas devenir rédacteur à part entière (rémunéré) de notre magazine ?

Où trouver vos magazines ?
Les derniers numéros en date du magazine imprimé sont disponibles dans les pays suivants : Belgique, France, Suisse, Luxembourg, Canada, Maroc, Tunisie, Liban, Côte d'Ivoire et DOM-TOM (sauf Nouvelle-Calédonie), ainsi que par correspondance sur Journaux.fr. Attention, trop de revendeurs se trompent de rayon (classement avec les journaux quotidiens) ou, pis, laissent nos magazines en réserve parce qu'ils ne sont pas assez chers à leurs yeux. Insistez pour avoir un exemplaire ! Si son stock est vraiment épuisé, votre revendeur peut recevoir de nouveaux exemplaires auprès de son distributeur (donner la référence M05561 et préciser s’il s’agit d’un numéro normal ou d’un hors série). Il est important d’acheter son exemplaire chaque fois au même endroit si possible afin que nous optimisions les quantités imprimées et livrées. Et si vous ne trouvez vraiment pas, il reste la solution du téléchargement légal.

Comment s’abonner ?
Nous n’avons pas trouvé de solution suffisamment économique pour un vrai abonnement postal (et nous n’avons pas envie d’arnaquer nos lecteurs comme tant d’autres, si nous devions faire faillite). Cependant Journaux.fr permet de précommander des numéros à l’avance (avec leurs frais de traitement et de port, c'est un peu cher, mais nous-mêmes ne pourrions pas faire moins cher de toute façon).
Envie de savoir quand le prochain numéro paraîtra, si nous pouvons le faire paraître ? Suivez-nous sur les différents réseaux sociaux (sur plusieurs, au cas où certains de nos comptes seraient censurés…) et/ou – mieux pour votre vie privée – abonnez-vous à notre lettre d'information gratuite par courriel !

Comment se procurer les anciens numéros ?
Les anciens numéros édités depuis 2016 sont disponibles en édition numérique sur des plates-formes de téléchargement légal. Pour les numéros plus anciens, vous pouvez nous contacter et nous verrons s’il nous reste des doubles dans nos collections personnelles dont nous pouvons nous séparer.
Nous espérons vous partager en ligne en accès gratuit un maximum d’articles de nos anciens numéros, mais les autorisations doivent nous être données par chacun des auteurs respectifs. Les anciens de l’équipe qui ne nous ont pas encore donné leur accord sont invités à nous contacter !

Pourquoi les magazines en téléchargement sont-ils parfois plus chers ?
Heureusement, certaines plates-formes de téléchargement proposent nos éditions électroniques au même prix que chez les marchands de journaux imprimés. D’autres sont plus chères, car elles sont plus gourmandes, parce que les intermédiaires sont plus nombreux, parce que selon la localisation des plates-formes nous devons payer des impôts dans plusieurs pays et/ou parce que la t.v.a. est plus importante pour les produits en ligne selon les pays.

Pourquoi ne faites-vous pas un site Web avec un accès payant aux articles ? Pourquoi ne proposez-vous pas des magazines à télécharger directement sur votre site Web ?
Nous ne connaissons aucun produit pour la facturation dont nous soyons certains de la sécurité. Les géants du Web ont souvent des dizaines de personnes en charge de leur sécurité et, pourtant, on ne compte plus les cas de fuites de données des clients. Nous ne souhaitons pas vous exposer de la sorte.
Outre ce problème technique, nous sommes confrontés à la lourdeur comptable en Europe : dans chaque pays où nous avons des clients (plus d’une vingtaine potentiellement), il faut déposer une déclaration de t.v.a., cela veut dire embaucher une personne qui ne ferait que cela, alors qu’il s’agit parfois de ne déclarer que quelques centimes. À l’heure actuelle, ce sont nos intermédiaires qui se chargent de cette formalité. Ensuite, chaque facture entrée en comptabilité nous est facturée par notre comptable externe, ce qui représente quelques euros par facture. Avec des ventes en direct, nous perdrions de l’argent dans le cas d’une facture pour un seul magazine à 2 €. Nous n’avons pas les moyens d’embaucher un comptable en interne ni la personne qui devra s’occuper du service après-vente pour s’occuper des inévitables problèmes techniques (paiement mal passé, fichier pas livré, etc.). De même, dans le cas d’un site Web payant, il nous faudrait dès le premier jour des milliers de lecteurs pour tenir économiquement, nous ne savons pas parvenir à ce résultat pour le moment.

Pourquoi ne pas augmenter le prix ? Ça vaut 4 € !
Vous avez parfaitement raison : notre travail vaut bien plus que le prix affiché (variable selon les pays). Mais nous avons une stratégie : à 2 € (même prix de référence depuis 2002 !), le magazine et ses informations sont accessibles à toutes les bourses. Notre objectif est d’amortir nos importants coûts fixes et d’enquêtes avec un grand nombre de lecteurs qui contribueront chacun un peu, plutôt que de faire un magazine cher réservé à une élite. Mais vous avez le droit d’acheter deux exemplaires (voire plus !) et d’en offrir un autour de vous pour faire découvrir nos magazines !

Pourquoi ne pas accepter les dons ?
Pour éditer le magazine, nous sommes en société, ce qui implique d’avoir une comptabilité. Le coût de gestion comptable d’un don serait souvent supérieur à la valeur du don dans la plupart des cas (même avec une comptabilité simplifiée). Comme indiqué précédemment, si vous voulez nous aider, vous pouvez acheter des exemplaires imprimés supplémentaires et les distribuer autour de vous pour faire connaître nos magazines.

Pourquoi ne lancez-vous pas un financement communautaire sur Kickstarter ou Ulule par exemple ?
Outre la lourdeur administrative (nous sommes une toute petite équipe), il est peu probable que nous réussissions à réunir la somme nécessaire.

Vous dites « pas de pub’ » ? J’ai pourtant trouvé des pubs pleine page !
Au premier Virus Info, on vous promettait 0 % de pub, puis 0,01 %, puis 0,02 %. En fait, il ne faut pas considérer les publicités pour nos différents magazines et sites Web comme de la publicité. Cela ne remet pas en question notre indépendance rédactionnelle (raison principale de notre choix de ne pas publier de publicité). Pas plus que les publicités pour les associations caritatives, qu’il faut plutôt voir comme du mécénat. Les gens qui nous reprochent ces pages, devraient se demander pourquoi elles ne sont pas dans tous les magazines.

Toujours en retard pour les infos !
Il est évident qu’un magazine trimestriel n’offre pas la même réactivité qu’un quotidien. Ce recul nous permet de mieux vérifier les informations (et, trop souvent, d’arriver à des conclusions inverses à celles publiées par le reste de la presse dans la précipitation…). Ce retard ne nous a pas empêchés non plus de sortir des infos avant tout le monde : les CD-Rom zoophiles chez les 3 Suisses, la censure chez PC Jeux, les magazines détenus par les fabricants de PC, la remballe à la Fnac, etc. Si l’urgence d’une information le justifie, nous pouvons la diffuser sur notre site Web.

Pas assez souvent, pas assez de pages, pas assez de tout !
La réponse est simple : pas assez de temps. Malgré l’évolution de la technique, la journée ne dure toujours que 24 heures. Aussi, compte tenu des revenus limités des magazines, nous devons parfois avoir d’autres emplois à côté. Si nous arrivons à avoir plus de ventes, nous pourrons passer plus de temps sur nos magazines, au lieu de travailler ailleurs.

Les infos sont pompées sur Internet !
Si Internet est une source d’informations, c’est aussi une source de rumeurs, d’erreurs et de dénigrements lancés par des professionnels de la désinformation (et des abrutis). Une information trouvée sur Internet ne nous sert qu’à démarrer une enquête. Si on publie l’information vous pouvez être sûrs qu’elle a été vérifiée, corrélée par d’autres sources et qu’elle est vraie. La preuve, au grand désespoir de certains, toujours aucun procès contre nous ! Nous apportons aussi une analyse différente des autres médias sur les mêmes informations. Enfin, une partie de nos informations est exclusive. Et ce sont nos informations qui se retrouvent, plus tard, sur Internet !

Pourquoi êtes-vous basés en Estonie désormais ?
Grâce à une informatisation très poussée, l’Estonie nous permet d’avoir une société bien plus facile à gérer que dans d’autres pays, avec un gain de temps à la clef pour nous consacrer à d’autres taches, les enquêtes. Aussi la vie est moins chère en Europe de l’Est, ce qui nous permet de survivre malgré les faibles revenus tirés de nos magazines indépendants.

À quand le retour de Pirates Mag’, Les Puces Informatiques et Pocket Videogames/magazine ?
Après plusieurs années d’absence, nous avons réussi à publier un numéro de Pirates Mag’ en 2019. Nous espérons le relancer de manière plus régulière, mais nous n’avons pas de date à communiquer. Pour Les Puces Informatiques, cela n’aurait plus de sens de publier des petites annonces sur papier, nous réfléchissons à ce que nous pourrions mettre comme articles pour toucher un large public. Pour Pocket Videogames/magazine, nous sommes confrontés à une autre problématique : les jeux de poche sortent au rythme de… quelques centaines par jour ! Il nous est impossible de suivre le rythme. Nous avons tenté de continuer l’aventure sur un site Web (PVG24.com), sur lequel nous continuons de publier de temps en temps.


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contact¤acbm.com (Attention ! Ne nous envoyez pas de fichiers binaires (EXE, images, etc), car ils seront filtrés. Envoyez seulement de courts messages, et nous reprendrons contact avec vous par la suite si vous voulez nous transmettre des documents).



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